Lyon est une ville cosmopolite depuis toujours.
A l’époque romaine, Lyon était la capitale de la Gaule romaine, une cité puissante. Grâce à cela, elle attirait vers elle d’importantes communautés orientales qui venaient soit d’Asie Mineure soit de Grèce pour faire du commerce.
Durant la Renaissance, Lyon devient une grande ville commerçante européenne. De nombreux transalpins traversent les Alpes et s’y installent. Ils exercent notamment le métier de banquiers.Puis des flamands, des germains et des helvètes les rejoignent. Lyon conserve des souvenirs de ces habitants : la statue de l’Homme de la Roche sur le quai Pierre Scize, l’Hôtel de Gadagne dans le Vieux-Lyon.

Au 20e siècle, ce sont des groupes de personnes qui fuient leurs pays pour des raisons économiques ou politiques. Ils sont composés de Russes et européens de l’est, de représentants du pourtour méditerranéen, d’asiatiques, d’africains et de sud américains.
Une caractéristique lyonnaise
Toutes ces personnes profitent de la qualité du dialogue inter religieux qui existe à Lyon, depuis très longtemps. Il repose sur une tolérance importante inter religieuse, fruit de la « conscience démocratique lyonnaise ».

Lyon aujourd’hui
Lyon est jumelée avec différentes villes depuis 1951. Parmi elles, des villes situées en Europe : Birmingham (Angleterre), Francfort sur le Main (Allemagne), Milan (Italie), en Asie comme Yokohama (Japon),Canton (Chine) ), sur le continent américain : Saint-Louis (USA), Curitiba (Brésil), au Moyen-Orient comme Beer Sheva (Israël), et en Afrique du Nord : Sétif (Algérie), Benghazi (Libye) . En plus, il existe de nombreuses chartes d’alliance ou des relations privilégiées, entre Lyon et d’autres villes en Europe et dans le monde.
Lyon compte cinquante-mille expatriés parmi ces habitants en 2010. L’équipe de LyonMedCare en prend en charge régulièrement. Et il y a plus de 70 consulats sur son territoire.

Lyon héberge sur son territoire plusieurs établissements appartenant à des institutions mondiales. Ainsi, l’organisation Interpol occupe un bâtiment le long du Parc de la Tête d’Or depuis 1989. Et le Centre International de Recherche sur le Cancer de l’Organisation Mondiale de la Santé a quitté l’immeuble qu’il occupait à proximité des hôpitaux pour rejoindre le Biopôle du quartier de Gerland.